samedi 12 avril 2008

Parce que ludique rime forcément avec caustique (un peu comme la soude)...

C'est le week-end, pas de dieux grecs à l'horizon (sauf là où il y a des éclairs et du tonnerre : c'est la saga de Zeus qui a dû commencer quelque part dans le village dans les nuages !) (heureusement, les Badaboks Saints veillent au - mauvais - grain. le combat est aussi sanglant que pouvait l'être la série incriminée : étouffage de guerriers à coups de calins mortels, destruction de systèmes nerveux adverse par surdose d'amour et de guimauve, revirement des ennemis pour cause de jalousie en terme de design... "Que la haine du Nounours se déchaine sur toi !". Franchement, tout ça est d'un scabreux...)...

Alors jouons un peu :

Tout de suite, en exclusivité universelle rien que pour vous, deux classiques aussi simples qu'unanimement appréciés dans les rangs des chevaliers d'or... (Réservé malgré tout aux experts confirmés) :


1. Pour commencer : "Où est Charlot ?"



Oui, non, je sais, il est en plein milieu de l'image, on a compris. Je parlais de Charlot numéro 2. Parce qu'autant dire que vu la situation, Ikki est forcément caché quelque part dans cette image, mais où ? A vous de soulever le bon caillou, ou de fouiller le bon buisson, ou de déblayer le bon tas de neige...

Attention cependant, vous n'avez que douze heures pour répondre (c'est à dire jusqu'à ce que cette andouille de Shun retrouve enfin la lentille qu'il a perdu en plein combat, ou que la patience de la main et de tout ce qu'il y a au bout de l'autre côté ait atteint ses limites), sinon, Ikki, eh ben il interviendra pas, il nous fera pas son cinoche ni son numéro de macho-man, et le troisième jeu à l'ordre du jour sera un mix entre le puzzle en trois dimensions ("chuuuttt, du calmeeee, Saga, reprends donc un cachet !") et le cours de biologie animale option viscère. Dès lors, ce sera à vous de ramasser les morceaux pour en faire un tout cohérent (c'est à dire plus prosaïquement : réussir là où la nature a échoué ! Pensez à vous munir de gants en caoutchouc).

2. Pour embrayer : Le jeu des "Un million deux cent cinquante quatre mille erreurs" :

Vous connaissez le principe : un million deux cent cinquante quatre mille erreurs de dessin, de proportions, de goût ou autres se sont glissées dans ces deux planches de monsieur Kurumada (ce qui est quand même nettement en dessous de la moyenne, précisons-le ici).

Saurez-vous toutes les retrouver, sachant qu'il faut déjà arriver à déterminer ce que tout ce joyeux foutoir est supposé représenter... ("Haaaaa mais parce qu'il fallait forcément représenter quelque chose ? Pourquoi l'éditeur, il m'a pas prévenu ! Pourquoi on me dit jamais rien, à moi. J'aurais fait un effort. Un peu comme sur BT'X...").

Vos yeux survivront-ils à l'expérience ?

Plus qu'un jeu, un véritable test en vue de la constitution d'une armée de super-soldats... (Au cas où le monde soit un jour REELLEMENT en danger, parce que le jour où le sauver ne se réduira pas à faire quelques mouvements d'aérobics dans des justaucorps fluo sur mesure pour impressionner l'adversaire - technique dite "du pigeon" -, là, effectivemment, on risque d'être mal) (Nous, d'abord). (Vous ensuite).

(C'est ça, les joies de la vie en communauté !)

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